Description:
Cette étude tente de comprendre la violence d’actes iconoclastes récents à partir d’une analyse structurale de notre civilisation iconophile, où les fonctions de l’image (connotative, dénotative, signalétique) correspondent à des vecteurs temporels (théologico-politique, économico-rationnel, cyber-technicien) où le choix d’une régression vers le connotatif apparaît comme une tentative pathétique de retrouver une temporalité perdue.