• Media type: E-Article
  • Title: Income Risk Analysis of Alternative Tillage Systems for Corn and Soybean Production on Clay Soils
  • Contributor: Yiridoe, Emmanuel K.; Weersink, Alfons; Hooker, David C.; Vyn, Tony J.; Swanton, Clarence
  • Published: Wiley, 2000
  • Published in: Canadian Journal of Agricultural Economics/Revue canadienne d'agroeconomie, 48 (2000) 2, Seite 161-174
  • Language: English
  • DOI: 10.1111/j.1744-7976.2000.tb00272.x
  • ISSN: 0008-3976; 1744-7976
  • Keywords: Economics and Econometrics ; Agronomy and Crop Science ; Animal Science and Zoology ; Ecology ; Global and Planetary Change
  • Origination:
  • Footnote:
  • Description: <jats:p>Conservation tillage systems have not been widely adopted on clay soils. There are few empirical studies on the production potential and economic feasibility of conservation tillage systems for com (Zea mays L.) and soybean (Glycine max L.) production on clay soils. On some soils in some regions, crop yields and possibly profitability can be increased, and yield and net farm returns risks may be reduced through the use of conservation tillage systems. Stochastic dominance efficiency criteria are used to rank net return distributions for one conventional tillage (CT) and seven conservation tillage (including five reduced tillage and two no‐till) systems, conducted for corn and soybean cropping systems on two clay soils located in the 3050 to 3100 Corn Heat Unit areas of Ontario. Average yields are similar under conventional tillage and reduced tillage systems, although actual corn and soybean yield response to tillage treatment is affected by drought (year). Average net returns differ among tillage treatments due to two factors. First, actual com and soybean yields vary among tillage systems for each soil type, depending on weather (i.e., year) effects. In addition, machinery costs that are crop‐specific increase costs of production and therefore reduce net returns. In general, CT systems dominate both reduced tillage and no‐till systems for almost all risk intervals for both clay soils, except for slightly high‐risk‐preferring intervals.</jats:p><jats:p>L'adoption des régimes de travail de conservation du sol a étéplutôt restreinte sur les terres argileuses. II n'y a d'ailleurs que peu d'études expérimental sur les potentialités des productions et sur la faisabilitééconomique de ces régimes pour la culture du maïs (Zea mays L.) et du soja (Glycine max L.) dans ces types de sols. Dans quelques régions du pays, leur utilisation dans certains sols peut donner lieu à un accroissement des rendements culturaux et éventuellement de la rentabilité, en plus de réduire les risques afférents aux rendements et aux revenus nets de l'exploitation. Nous avons utilisé des critères d'efficience à dominance stochastique pour classer les niceaux de répartition de la rémunération nette obtenue dans régime de travail classique du sol (TC) et de sept régimes de travail de conservation du sol, soit cinq en travail réduit et deux en semis direct, conduits en culture de maïs et de soja sur des sols argileux situés dans les régions agroclimatiques de 3 050 à 3 100 unités thermiques maï's. Les rendements moyens étaient comparables en régime de travail classique et dans les régimes de travail réduit, bien que les rendements actuels des deux cultures sous les divers régimes étaient déprimés en année de sécheresse. La rémunération nette moyenne différait selon les regimes de travail du sol, et celapour deux raisons: d'abord une variation des rendements réels de maïs et de soja entre régimes de travail pour chaque type de sol selon les conditions météorologiques de l'année, ensuite l'augmentation des coûts de production résultant de celle des coûts d‘utilisation de matériels de culture spécialisés, tout cela se soldant par une baisse de la rémunération nette. Dans l'ensemble, les régimes TC l'emportaient dans les sols argileux pour la quasi‐totalité des niveaux d'attitudes envers les risques, sauf dans le cas des attitudes La gestion de la logistique dans le commerce des céréales a acquis une grande importance maintenant que ce secteur a atteint la maturité. C'est particuliérement important dans le système canadien de mise en marché des céréales lequel, pour diverses raisons, a essuyé bien des perturbations ces demières années. Les problèmes en cause ont fait l'objet de nombreuses évaluations du secteur. ils ont même abouti au dépot d'une plainte sur les obligations de service dans la campagne agricole 1996–1997 et ont étéétudiés par la Commission Estey. Dans la présente communication nous avons construit un modèle détaillé du système canadien de logistique du marché des céréales ainsi que de l'effet de plusieurs strategies importantes de logistique et de commercialisation sur la performance du systéme. Les résultats obtenus montrent qu'il y a sufflsamment d'aléatoire dans les diverses fonctions du système pour conclure que les frais de séjour à quai sur la côte ouest seraient périodiquement un important poste de dépense. La fréquence des perturbations des services et les coûts à quai sont associés à plusieurs facteurs dont la livraison de grain gourd et humide, de grain mal classé et le niveau des disponibilités exportables. Plusieurs variables stratégiques influent sur le fonctionnement du système, notamment l'agressivité manifestée dans la vente par rapport aux stocks disponibles et le niveau des stocks disponibles dans les ports au début de la campagne d'exportation, de recherche prudentes des risques.</jats:p>