• Media type: E-Article
  • Title: Lichens as bioindicators of air quality in Montecatini Terme (central northern Italy)
  • Contributor: Loppi, Stefano [Author]; Corsini, Adelmo [Author]
  • Published in: Ecologia mediterranea ; Vol. 21, n° 3-4, pp. 87-92
  • Language: English
  • DOI: 10.3406/ecmed.1995.1793
  • ISSN: 0153-8756
  • Identifier:
  • Keywords: lichens ; air quality ; urban areas ; Qualité de l'air ; Lichens ; Cités ; article
  • Origination:
  • Footnote:
  • Description: Epiphytic lichens were used as bioindicators of air quality in the town of Montecatini Terme in central northern Italy. By means of 26 Index of Atmospheric Purity (LAP) relevés, a zone-map was drawn by automatic mapping programmes and the area was divided into 4 air quality zones. These zones were not concentric with respect to the city centre, suggesting that they are determined by air pollution and not by urban drought. The worst air quality occurred in urban areas with heavy motorized traffic and along a highway, while higher LAP values were found in areas free of traffic. These results are in agreement with data on the incidence of motorized traffic and air pollutants measured by recording gauges, which showed that SO2 levels were very low, NOx being the main pollutant. This allowed to conclude that in the area the main source of air pollution is from motorized traffic and that changes in lichen frequencies are largely determined by nitrogen oxides. Furthermore, the results underlined the fact that sulphur dioxide is no longer the main pollutant affecting lichen presence.

    Les Lichens épiphytes sont utilisés comme bioindicateurs de la qualité de l'air à Montecatini Terme, petite ville située dans la partie Nord de l'Italie centrale. 26 relevés de l'Indice de Pureté Atmosphérique (IAP), en ont permis de dresser la carte par cartographie automatique. Quatre zones de qualité de l'air y ont été définies. Ces zones ne sont pas concentriques par rapport au centre de la ville, ce qui suggère le rôle de la pollution et non celui de la sécheresse urbaine. La plus mauvaise qualité de l'air a été trouvée là où la circulation est la plus intense et le long de l'autoroute, alors que les meilleures valeurs d'IAP ont été trouvées là où le trafic est le moins intense. Ces résultats concordent avec l'importance de la circulation, la pollution de l'air est mesurée par des compteurs qui mettent en évidence le très bas niveau de SO2. C'est NOx qui est le polluant principal. Ceci conduit à la conclusion que la source principale de pollution du lieu étudié est la circulation, que la fréquence des Lichens est pour la plupart déterminée par les oxydes d'azote, et que le dioxyde de soufre n'est plus le principal polluant.
  • Access State: Open Access
  • Rights information: Attribution - Non Commercial - No Derivs (CC BY-NC-ND)