Beschreibung:
<jats:p> Cet article examine la production, la réception et le discours du premier long métrage de fiction anglophone de l’ONF, Drylanders. Le manque d’intérêt critique et la mise en marché inadéquate dont le film a souffert sont analysés à la lumière de la culture cinématographique des années soixantes. Suite à des recherches d’archives et une étude textuelle, l’auteur nous propose une lecture alternative du film qui rend compte de son hétérogénéité. Plus qu’un simple docudrame de l’ONF, Drylanders reflète les tensions qui existent entre le drame et le documentaire, le régionalisme et l’universalisme. </jats:p>